Liberté Religieuse : Dîner de gala de l’UAGF – Article de France-Antilles Martinique

Le 13 janvier dernier 2015, l’UAGF (Union des Antilles et Guyane Françaises des adventistes du 7ème Jour) a invité le monde religieux, les acteurs et décideurs de toutes les observances à se rencontrer autour d’un dîner de gala de qualité.
Article de France-Antilles Martinique.

 

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2 Commentaires

    • kelji sur 27 janvier 2015 à 14 h 50 min
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    Il faut faire attention à ne pas pas rentrer dans tous et n’importe quoi. Satan va faire tous son possible pour piéger les adventistes du 7eme jour, si on n’a pas le saint- esprit pour discerner les pièges, on va droit dans le mur. Dieu avait avertit de faire attention à tous ses unions. Qu’entendez-vous par « synergie religieuse » ? Maintenant les « dirigeants »adventistes du 7 ème jour rentre dans tous sans faire attention. Dans le cadre d’une semaine de prière pour l’unité chrétienne qu’une messe œcuménique était organisée à l’église Notre-Dame de Valence dernièrement  » et que « Les prostestants y étaient » sachant qu’en France, on ne nous connait pas sur le nom « Adventisme du 7ème jour » mais nous faison partie des « protestants ». C’est triste de voir ça de la part des dirigeants et que personne ne fait et ne dit rien. Nous ne faisons pas partie de ce monde, Dieu nous demande de sortir et « nous » faisons des alliances. Veillez et prier.

      • Baltus Jéricho sur 22 février 2015 à 14 h 00 min
      • Répondre

      À propos du dîner de Gala du 13 janvier 2015 je tiens à apporter une réponse à votre observation, en tant que responsable à l’UAGF des Affaires Publiques et de la Liberté Religieuse et donc l’initiateur de cette manifestation.
      L’église adventiste Antilles Guyane françaises n’a aucune velléité pour l’œcuménisme comme l’a rappelé le président de l’Union, Max René Laurent dans sa réponse à l’archevêque de la Martinique afin de prévenir toute mauvaise interprétation de cet événement :
       » Je viens vous remercier pour l’honneur que vous nous avez fait d’avoir été représenté par le Vicaire épiscopal Marcel CREPIN, à la soirée de Gala organisée par notre association, ce qu’il a fait dignement.
      Nous avons été très sensibles aux mots fort agréables de votre courrier et nous vous en remercions grandement. Une lecture publique en a été faite et le contenu très apprécié.
      L’Église des Adventistes du Septième Jour, bien que n’étant pas adepte de l’œcuménisme, reconnaît et privilégie le dialogue inter-religieux. »

      Elle n’est pas non plus membre de la fédération protestante de France. Elle est même entrain de créer sa propre association pour la promotion et la protection de la liberté religieuse.

      Il n’y avait rien dans l’organisation de ce Gala qui pourrait laisser penser un instant à l’œcuménisme. En effet:
      > Sur les 130 convives il n’y avait que quatre dirigeants religieux qui n’ont pas pris la parole contrairement aux parlementaires présents.
      > Les musulmans ne sont pas œcuméniques.
      > Les maires, parlementaires, décideurs économiques et responsables d’associations sportives invités, n’ont rien à voir avec l’œcuménisme, vous en conviendrez.

      Par ailleurs, les hommes et les femmes autour de nous ont tous besoins de salut quel que soit leur niveau responsabilité. Il appartient à l’église de leur faciliter par son ouverture l’accès à la Parole et non de les « diaboliser ». Ceux qui gèrent la cité ne sont pas des ennemis, loin de là. Les autorités supérieures ont été instituées par Dieu et l’église doit leur tendre la main pour les aider à accomplir leur mission.
      L’amour du Christ était sans frontière. Il n’a pas craint d’affronter les critiques pour s’ouvrir aux occupants Romains, idolâtres de surcroît, aux parias samaritains et aux collabos publicains. Il faut donc raison garder.
      Le « Mouvement Adventiste » est né pour accomplir une mission. Il ne peut pas fonctionner jusqu’à la fin des temps en circuit fermé. Aujourd’hui, fort de ses convictions théologiques et prophétiques enracinées dans la Bible, il doit s’ouvrir pour apporter son éclairage aux mondes économique, religieux et associatif sans renier ses convictions. L’église n’a pas à avoir peur. La peur est un sentiment voulu par l’ennemi car elle génère l’enfermement. Nous ne sommes pas le sel de l’église mais « le sel de la terre » conformément à la déclaration du Maitre Jésus.
      Je souhaite qu’Il appose son sceau sur l’action de ses serviteurs qui savent qu’Il revient bientôt.

      Jéricho Baltus
      Directeur du département APLR, Affaires Publiques et Liberté Religieuse
      Union Antilles Guyane Françaises des adventistes du 7ème jour, UAGF.

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