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LunDi                           7 novembre


           « Il est ressuscité! »


           La victoire de Christ sur Satan et ses puissances maléfiques a été assurée sur
         la croix et confirmée par le tombeau vide. « Satan avait triomphé lorsque Jésus
         fut déposé dans le sépulcre. Il avait osé espérer que le Sauveur ne reviendrait
         pas à la vie. Il revendiquait le corps du Seigneur comme sa propriété; s’ef-
         forçant de retenir Christ dans sa prison, il plaça sa garde autour du tombeau.
         Quand ses anges prirent la fuite à l’approche du messager céleste, il devint fou
         de colère. En voyant le Christ sortir triomphant, il comprit que son royaume à
         lui était destiné à prendre fin et que lui-même devrait périr. » Ellen G. White,
         Jésus-Christ, p. 786. Et, bien que Christ soit mort humainement, Sa divinité
         n’était pas morte. Dans Sa divinité, Christ possédait le pouvoir de briser les
         liens de la mort.

         Selon Matthieu 28:1-6; Jean 10:17, 18; et Romains 8:11. Qui était
         directement impliqué dans la résurrection de Jésus?

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           Au cours de Son ministère en Samarie, Jésus déclara qu’Il avait Lui-même
         le pouvoir de donner Sa vie et de la reprendre (Jean 10:17, 18). À Marthe, Il
         dit: « Je suis la résurrection et la vie » (Jean 11:25). D’autres passages parlent
         de Sa résurrection comme d’un acte de Dieu (Actes 2:24, Rom. 8:11, Gal.
         1:1, Héb. 13:20). Même un puissant ange du Seigneur était impliqué dans cet
         évènement glorieux (Matthieu 28:1, 2).
           Pendant ce temps, Matthieu 28:11-15 révèle les efforts futiles et insensés des
         dirigeants pour continuer à lutter contre Jésus. La garde romaine avait dit aux
         dirigeants « tout ce qui était arrivé » (Matthieu 28:11, LSG). L’idée implicite
         dans ce récit est que les gardes étaient témoins de la résurrection. Sinon, que
         signifieraient leurs paroles? Un ange descendit du ciel, déplaça la pierre, s’as-
         sit dessus, et les gardes s’évanouirent. La prochaine chose qu’ils avaient sue
         est que le tombeau était vide. Peut-être, alors que les gardes romains étaient
         inconscients, l’ange avait emporté le corps de Jésus? Peut-être que les dis-
         ciples l’avaient fait? Ou quelqu’un d’autre l’avait-il volé? Quoi qu’il arrive, le
         corps de Jésus avait, de toute évidence, disparu.
           Le fait qu’un ange descende du ciel, que les hommes s’évanouissent de peur
         et que le tombeau soit vide auraient été assez déconcertant pour les chefs reli-
         gieux. Mais le fait qu’ils « donnèrent aux soldats une forte somme d’argent »
         (Matthieu 28:12, LSG) pour garder ces hommes silencieux impliquait que tout
         ce que les soldats leur avaient dit les dérangeait profondément. Et ce dont ils
         avaient parlé, bien sûr, c’était la résurrection de Jésus.
         Certains se moquent de l’idée que les premiers à voir Christ ressuscité soient
         des Romains. Pourquoi? En quoi cette vérité est-elle symbolique de ce qui allait
         arriver: l’évangile allant aussi aux païens?

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