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VenDreDi                             30 décembre



         Réflexion  avancée:  Lisez Ellen G.  White, « La fin de la
         tragédie », p. 586-601, dans La tragédie des siècles; [« The Earth
         Made New », p. 133-145; « Heaven Is a School », p. 146-158; « It
         Will Not Be Long », p. 159 à 166; « Heaven Can Begin Now », p.
         167-176; « The Music of Heaven », p. 177-184; « A Call for Us to
         Be There », pp. 185-192, dans Heaven.]

           « La croix de Jésus-Christ sera la science et le chant des rachetés pendant les
         siècles éternels. En Jésus-Christ glorifié, ils contempleront Jésus-Christ cru-
         cifié. Jamais ils n’oublieront que celui dont la puissance a créé et soutient les
         mondes innombrables de l’immensité, que le Bienaimé de Dieu, que la Majesté
         du ciel, que celui que les séraphins et les chérubins adorent avec délices s’est
         humilié pour relever l’homme déchu; qu’il a porté la culpabilité et l’opprobre
         du péché sur la croix du Calvaire, qu’il a vu se voiler la face de son Père; qu’il
         a senti son cœur se briser sous le malheur d’un monde perdu. La pensée que
         le Créateur de tous les mondes, l’Arbitre de toutes les destinées ait consenti à
         déposer sa gloire et à s’anéantir pour l’amour de l’homme, restera éternellement
         un sujet de stupeur pour l’univers. » Ellen G. White, La tragédie des siècles, pp.
         576, 577.  « La grande tragédie est terminée. Le péché et les pécheurs ne sont
         plus: l’univers est purifié. Dans l’immense création, tous les cœurs éprouvent la
         même allégresse. Des ondes de vie, de lumière et de joie, jaillissant du trône du
         Créateur, envahissent les derniers recoins de l’espace infini. De l’atome le plus
         imperceptible aux mondes les plus vastes, tant des êtres animés que des objets
         inanimés, s’élève, par la voie de leur beauté incomparable et de leur joie sans
         mélange, un cantique d’allégresse proclamant que Dieu est amour » Ellen G.
         White, La tragédie des siècles, p. 678.
         Discussion:
         u Beaucoup de chrétiens sécularisés vivent comme si ce monde durerait
         éternellement  (Luc 12:16-21). Comment pouvons-nous équilibrer nos
         idéaux  terrestres  avec  nos  priorités  célestes?  Comment  pouvons-nous
         nous prémunir contre le comportement contre lequel Jésus nous a mis en
         garde dans Luc 12?
         v Si le ciel commence ici, que devons-nous faire pour transformer nos
         foyers et nos vies personnelles en petites expressions de principes célestes?
         w Attardez-vous sur la question posée à la fin de la leçon de dimanche.
         Quelle est la logique derrière le pessimisme de ceux qui ne croient pas à
         la vie éternelle? Au même moment, aussi, certains de ces gens semblent
         néanmoins mener une vie assez « heureuse », même sans exprimer aucun
         espoir futur. Selon vous, comment arrivent-ils à faire cela? Autrement dit,
         comment peuvent-ils rationaliser la vie, et même se contenter des choses,
         sans avoir la promesse de quelque chose au-delà de cette vie?


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