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marDi 25 octobre

Le fils de la veuve de Naïn

La Bible dit que Jésus « allait de lieu en lieu faisant du bien et guérissant
tous ceux qui étaient sous l’empire du diable, car Dieu était avec lui » (Actes
10:38, LSG). En effet, tous les Évangiles sont pleins de récits de Jésus ser-
vant de nombreuses âmes nécessiteuses, c’est pourquoi plus tard de nom-
breux Juifs en sont venus à croire que Jésus était le Messie promis.
« On pouvait trouver des villages entiers où ne se faisait plus entendre
aucun gémissement arraché par la maladie; il avait passé par là, et guéri tous
les malades. Son œuvre témoignait de sa divinité. L’amour, la miséricorde et
la compassion se révélaient dans chacun de ses actes; son cœur était rempli
de tendre sympathie pour les enfants des hommes. Il avait revêtu leur nature
afin de subvenir à leurs besoins » Ellen G. White, Le meilleur chemin, p. 9,
10.

Lisez Luc 7:11-17. Quelle différence importante y a-t-il entre ce qui
s’est passé dans cette résurrection et celles que nous avions examinées
hier?
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Pendant Son ministère en Galilée, Jésus guérissait les malades et chassait
les démons. Un jour, Christ et Ses disciples s’approchaient de Naïn quand
un cortège funèbre traversait ces portes. Dans le cercueil ouvert se trouvait le
fils unique d’une veuve, qui, inconsolable, pleurait sa perte à chaudes larmes.
Plein de compassion pour la mère en deuil, Jésus lui dit: « Ne pleure pas! »
Alors, Jésus se tourna vers le fils mort dans le cercueil et lui ordonna: « Jeune
homme, je te le dis, lève-toi! » Le fils revint à la vie et Jésus « le rendit à sa
mère » (Luc 7:13-15, LSG). La présence de Jésus changea complètement
tout le scénario, et beaucoup de gens qui avaient été témoins du miracle,
surent non seulement que quelque chose d’étonnant s’était passé, mais que
quelqu’un de spécial (ils l’appelaient « un grand prophète ») était parmi eux.
La veuve phénicienne (1 Rois 17:8-24) et la femme sunamite (2 Rois 4:18-
37) avaient demandé de l’aide respectivement à Élie et à Élisée. Mais la veuve
de Naïn trouva de l’aide sans même qu’elle ne la demande. Cela signifie que
Dieu prend soin de nous même lorsque nous ne pouvons pas ou nous nous
sentons indignes de Lui demander de l’aide. Jésus vit le problème et le résolut
– ceci était constant à travers tout Son ministère.

La vraie religion implique le fait de prendre soin des orphelins et des veuves autour
de nous (Jacques 1:27). Bien que, de toute évidence, nous ne soyons pas en mesure
de faire les genres de miracles que Jésus faisait, que pouvons-nous faire pour servir
ceux qui souffrent autour de nous?

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